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Experimentation infrastructure bruit.jpg

Cette étude fait partie du projet national MINnD et plus précisément du thème 2 : expérimentations. Le groupe de travail MINnD est composé: d’Egis,de Setec, de l’IGN,du BRGM. L’expérimentation se concentre sur les standards CityGML et InfraGML de l’organisme de standardisation: l’Open Geospatial Consortium(OGC). Ces standards permettent d’échanger la géométrie, etla sémantique des données3D .CityGML est utilisé pour échanger des modèles urbains .InfraGML est en cours de développement. Il est conçu pour échanger des données sur les infrastructures et sur les mesures terrain. Nous étudions ces standards lors d’un BIM Use (cas d’usage BIM) d’une étude d’impact acoustique. - Dans une première partie, nous étudions les différents standards actuels et en dé-veloppement. Puis nous étudionsle processus actuel d’une étude acoustique pour identifier l’apport des standards CityGML et InfraGML. - La seconde partie porte sur la méthodologie de l’expérimentation. Nous effec-tuons un état de l’art de l’interopérabilité entre certains outils métiers en relation avec lestandard CityGML. La méthodologie présente l’analyse de l’interopérabilité sur les outils et la méthodologie pour l’étude acoustique. - La dernière partie se concentre sur les résultats. Les mots-clés sont les suivants: •BIM.•SIG.•CityGML.•InfraGML.•Étude acoustique.•BIM Use.

Etude IFC-IST (descriptif technique et scientifique).jpg

Le présent Descriptif Technique & Scientifique (DTS) précise le détail des travaux à réaliser dans le cadre de l’Etude IFC-IST pour la spécification d’un formalisme IFC destiné à décrire les ouvrages et équipements d’une infrastructure souterraine (IST) intégrée dans son environnement naturel. Ce projet s’inscrit dans le contexte de la démarche BIM mise en œuvre pour le développement d'une phase PRO, en incluant les phases « transitoires » : fin d’AVP / début PRO et fin PRO / début Etude d’EXécution. Il propose également d’étendre le périmètre classique du BIM et s’intéresse à la modélisation de l’environnement de l’IST et des interactions ouvrages / environnement, et tout particulièrement des informations géologiques et géotechniques.Les prestations à réaliser sont au nombre de 6 : D'une part des missions de spécifications (5): - des protocoles d'échange d'informations (IDM, Information Delivery Manual) ; - d’un dictionnaire de données (DD, Data Dictionary) pour préciser la sémantique des informations échangées ;- des entités nouvelles (ou amendées) requises pour décrire le modèle de données (IFC, Industry Foundation Classes) ; - des seules entités autorisées (restriction) pour décrire les informations d'un protocole d'échange associé à un cas d’usage donné (MVD, Model View Definition) ; - d’un protocole d'accord pour l'intégration des travaux dans la normalisation internationale BIM et OGC (MOU, Memorandum Of Understanding). D'autre part une mission de réalisation (1) : -du développement d'un transcodeur IFC (bibliothèque DLL, Dynamic Link Library) portant sur les nouvelles entités requises et permettant à des logiciels métier d'importer / d’exporter des fichiers d'échange au format IFC les contenant. Ces prestations seront déclinées selon 2 sous-projets principaux : - celles concernant les ouvrages et équipements d’une infrastructure souterraine ; - celles liées à la modélisation de l’environnement naturel, intégrant les données géologiques et géotechniques. Elles viseront à permettre d’assurer 26 cas d’usages principaux du BIM et de la maquette numérique, identifiés à ce stade et qui pourront être complétés/modifiés au démarrage de l’étude. Ces cas d’usages, extraits d’une approche de démarche BIM d’une maitrise d’ouvrage, ne sont pas à considérer comme un objectif à court terme de livrable de la présente étude, mais plutôt comme un guide des « filtres » d’échanges d’information qu’il sera possible d’intégrer pour les postes « MVD ». En ce sens, pour une phase PRO d’un projet d’infrastructures souterraines, la totalité des cas d’usages envisagés ne sera peut être pas tous adaptée. Il s’agira donc de faire un « tri » et d’en faire le plus possible, lorsque cela s’avérera nécessaire.Il est également précisé, qu’à terme, la profession espère pourvoir bénéficier d’un standard interopérable pour toutes les phases d’un cycle de vie : de la programmation au démantèlement, et pour l’ensemble des types d’ouvrages (Terrassement, VRD, Bâtiments conventionnels, Bâtiments non conventionnels, Installations spécifiques, etc.). Cependant, à court terme, le périmètre de l’Etude IFC-IST a été « restreint » d'une part aux ouvrages et équipements d’une infrastructure souterraine, et d'autre part pour une phase PRO.

Analyse critique des outils existants de mise en cohérence infrastructure-environnement.jpg

Les méthodes de travail actuelles pour la conception des infrastructures ont recours à des échanges successifs entre les domaines de conception. Les fichiers de chaque corps de métier doivent souvent être transformés avant d’être compilés ou ressaisis du fait des incompatibilités entre les logiciels et les formats. Ces manipulations entraînent une perte de temps et une dégradation des informations conte-nues dans les fichiers d’origine ce qui augmente le risque d’erreur. L’objectif des études effectuées en tranche 2 de l’UC6 est tout d’abord d’analyser ces flux d’échanges autour des données environnementales des projets. Cela doit permettre : - D’identifier les points de blocage existants. - De déterminer quelles sont les évolutions de méthode de travail à mettre en œuvre pour fluidifier les échanges. L’objectif de ce rapport UC6T2-1 est de faire une analyse critique des outils existants en se basantsur les cas de passage à faune de part et d’autre d’autoroutes : - Un chiropteroduc sur une portion de la A63. - Un écopont sur une portion de la A64. Deux cas d’étude alimentent le contenu de tous les rapports UC6T2. Ils sont présentés en Annexe de ce rapport.

Explications ISO 19650 Partie1.jpg

NF EN ISO 19650 : Gestion de l’information par la modélisation des informations de la construction (Information management using building information modelling ). Présentation sur la partie 1 de la norme, par Marie-Claire Coin lors de la journée technique openBIM 2019.

BIM et Géoreferencement.png

Géoréférencement de projets BIM : éléments méthodologiques (notions de base, cas d’usage et outils). Les retours d’expériences sur les projets en BIM, de plus en plus nombreux, font apparaitre une méconnaissance importante du géoréférencement et de ses enjeux. Les outils de modélisation utilisés dans les projets en BIM, intègrent le géoréférencement suivant des méthodologies très différentes et selon des systèmes de coordonnées personnalisés.Suite à ce constat, il a été proposé de créer un GT et de rédiger un guide à l’attention des praticiens du BIM. Espérons que ce guide soit un outil du «BIM pour tous», qu’il permettra une montée en compétences des acteurs de tousles territoires et des productions BIM de qualité croissante.

BIM et Droit - memorandum FNTP.png

Le présent mémorandum abordera dans un premier temps les droits relatifs aux contenus de la Maquette Numérique(Chapitre 1) puis les droits relatifs à la protection de la Maquette Numérique(Chapitre 2) et les obligations y relatives en matière de protection des données à caractère personnel (Chapitre 3). L’ensemble de ces considérations imposent une contractualisation spécifique (Chapitre 4).Enfin, la relation avec les éditeurs des Outils Logiciels BIM est également à encadrer (Chapitre 5).

Modelisation coûts - Phase Exploitation-Maintenance.jpg

Les objectifs de la présente étude sont abordés ci-après. Le premier objectif vise à identifier les étapes du cycle de vie au cours desquelles l’exploitant interagit avec le BIM. Pour chacune de ces étapes, on vise à identifier les données dont il a besoin ainsi que leur degré d’urgence : • Attributs nécessaires/que faut-il numériser ? • Données statiques (inventaire « as-built ») et données variables (état du patrimoine, historique des inspections et interventions de maintenance). • Quels filtres ? Le deuxième objectif vise à analyser de manière pragmatique les architectures proposées pour la plateforme BIM sur le thème « gestion du patrimoine ». Enfin, le dernier objectif est de proposer des pistes de réflexion sur l’évolution de la MN. Il s’agit d’identifier les principaux challenges à relever, pour conserver les bénéfices de la maquette numérique dans le temps long.

Application du BIM Infra.jpg

Le présent guide comporte des préconisations pratiques de mise en place du BIM. Les principaux concepts du BIM sont présentés dans le document «Recommandations de mise en place du BIM». Ce guide d’application BIM du projet propose un contenu pour les 4 documents qui organisent une démarche BIM pour un projet donné, à savoir : - La charte BIM propre à la maîtrise d’ouvrage (MOA). - Le CCTP BIM pour le projet. - La convention BIM MOE. - Le plan de mise en œuvre BIM du projet parl’entreprise.Ils sont en cohérence avec la nouvelle norme ISO19650. La première partie de ce guide décrit une cinquantaine d’opérations métiers que l’on peut optimiser par la mise en œuvre de processus BIM,et ce aux 5 phases principales d’un projet d’infrastructure :1.Programmation; 2.Conception; 3.Réalisation; 4.Livraison; 5.Exploitation-maintenance. Les rôles relevant de cette organisation BIM sont hiérarchiquement dépendants de ceux de l’organisation métier. Ils sont coordonnés entre eux par l’équipe de management BIM qui structure les modalités de la production collaborative. Ces modalités comprennent: - Les processus de contribution et de consommation des données. - Les droits d’accès. - Le circuit et le suivi de décision. - La plateforme des échanges. - L’hébergement des référentiels partagés. - Les capacités et limites des outils. - Leurs interfaçages à assurer. La troisième partie aborde les questions: - De la structuration du modèle (le double numérique de l’ouvrage à construire et à maintenir). - Des chartes de nommage et des codifications. - Des formats des échanges. Une section de ce chapitre est dévolue à la question du géoréférencement.En effet, il s’agit d’une question essentielle qui se pose pour tout projet d’infrastructure ou d’aménagement. Un catalogue des normes applicables est également disponible en fin de guide.

Approche holistique BIM Infra Part1.jpg

Un projet d’infrastructure répond parfaitement à la définition d’un système complexe, notammentau travers des éléments suivants: •Le nombre de parties prenantesqui le compose. •La grande diversité des disciplineset des compétences qu’il faut mobiliser. •Son environnement normatifet réglementaire. •Le nombre d’exigences et de contraintesauxquelles les infrastructures doivent répondre. Cela induit un grand nombre de simulations et de tests à réaliser pour les vérifier et les valider. Un grand nombre d’informations est généré tout au long duprocessus : •De planification (programmation). •De conception. •De construction. •D’exploitation. •Voire de démantèlement. Ces importants flux d’informations doivent être collectés, traités, archivés soigneusement structurés et tracés de manière cohérente et intelligible pour l’ensemble des parties prenantes et notamment: le maître d’ouvrage et les futurs utilisateurs. Voilà le cadre général dans lequel les acteurs de la construction doivent se positionner afin de : •Modéliser les informations relatives au développement des infrastructures •Mettre en place une démarche BIM pour les infrastructures. Nous vous avons présenté dans le livrable précédent les grandes lignes d’un cadre de référence pour le développement du BIM dans les infrastructures.

Approche holistique BIM Infra Part2.jpg

Suite à la Partie 1, nous vous présentons: •Des propositions de mise en œuvre de méthodes liées à : -L’ingénierie des exigences (et des outils permettant de modéliser et de gérer les exigences). -L’architecture système. -La décomposition des systèmes en vues opérationnelle, fonctionnelle et organique appliquées au cycle en V. •Un métamodèle pour le développement de systèmes complexes.